NÖEL PIERCY
Né le 04/01/1958 (c’est loin déjà)
À : Fougerolles (Haute Saône) (où tourne toute ma vie)
Divorcé (comme beaucoup)
1 fille: Mélissa (ma perle)
2 petites filles: Aeris et Lynoa - 1 petit fils : Anakyn (mes diamants bruts)
Profession: Responsable des achats (il faut bien manger)
Domicile: Fontaine les Luxeuil (70) (mon dortoir)
Passionné de théâtre depuis toujours, grâce à l’émission télévisée « Au théâtre ce soir » qu’il regarde avec sa grand-mère. A cette époque, il est encore très jeune et ne comprend pas tout des subtilités théâtrales, mais ce qui le fascine le plus, c’est de voir sa grand-mère, se transformer en regardant une comédie, rire à gorge déployée, râler à voix haute contre le « pas gentil », ou même, essuyer discrètement une larme d’émotion. Comment des gens qui jouent la comédie peuvent-ils arriver à métamorphoser « Maman Nène » ? Elle qui, d’habitude, est plutôt « renfermée » et ne laisse rien paraître de ses sentiments.
Les comédiens qui gigotent dans la télé seraient-ils aussi des magiciens ?
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C’est bien plus tard, en allant voir une troupe amateur de sa région qu’il trouvera la réponse. La magie agit sur lui et ne le quittera plus. Il s’engage dans une petite troupe pour « voir comment ça se passe » et deux ans plus tard, en 1996, il monte sa propre troupe « Les Théâtains », dans son village de Fougerolles.
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Pour les besoins de sa troupe, il écrit plusieurs sketches ou saynètes et en 2002, sa première vraie comédie : « J’y croiX pas », qui a été jouée à ce jour près de 1500 fois, en France, Belgique, Suisse et Canada, mais toujours dans un cadre amateur.
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La passion de l’écriture a frappé, et plusieurs autres pièces suivront.
– T’as raison cornichon (2005)
– Dernière volonté (2007)
– Feu d’artifice (2009)
– Comment peut-on ? (2013)
– A perdre la raison (2015)
– La pièce démontée (2017)
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Depuis 1999, il intervient à la demande du Club Théâtre du collège de son village et tente à son tour de transmettre la magie du théâtre. La récompense du comédien : Les rires du public, et les applaudissements. Ils peuvent devenir une drogue, mais, elle est si douce…
L’écriture si elle est une passion, n’est pas pour autant, une obligation. C’est une écriture surtout instinctive. Les répliques s’enchainant presque d’elles même. Il ne connait pas le syndrome et l’angoisse de la page blanche. Pour écrire, une fois un sujet trouvé, il faut que trois conditions soient réunies : l’inspiration, l’envie et le temps. Si une de ces conditions manque, on arrête et on reprendra plus tard. Pas de stress !
Une autre condition essentielle : la musique. Toujours avoir un fond musical en écrivant. Pour lui c’est principalement du Rock neo-progressif (Pink Floyd, Marillion, Riverside, etc)
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FEU D'ARTIFICE À PARIS
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Enorme émotion pour moi. Qu’une pièce d’un petit auteur comme moi, soit jouée dans une salle parisienne, je ne l’avais même jamais rêvé. J’avoue être tout de même un peu stressé en entrant dans le théâtre. Comment va réagir un public parisien ? Une soirée magnifique !
Entendre et voir rire et applaudir les spectateurs furent encore une fois une belle récompense, largement méritée par les comédiens, la metteuse en scène, et toutes les personnes qui ont œuvrés à la réalisation de ce projet.
Un grand, un très grand, merci aux comédiens qui ont su « faire passer la magie », grâce à leur talent et leur travail.
Et surtout un ENORME MERCI à Anne Sophie Denis, l’instigatrice de ce projet. Un petit bout de fille chez qui on sent, une vraie Passion pour le Théâtre, avec une envie inaltérable d’atteindre ses objectifs, et pourvue d’une énergie débordante et d’un grand cœur, puisque cette soirée était donnée au profit de l’Association : l’un est l’Autre.
Une belle soirée, pour une belle cause, avec de belles personnes. Pour moi, un vrai feu d’artifice !
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